Le cardinal Mosengwo, nous a donné un exemple à suivre en prêchant seulement 12 minutes. Il a respecté ce qu’il a publié en aout 2008 sur les directives pastorales pour l’archidiocèse de Kinshasa pour célébrer dignement l’eucharistie. Ces directives en parlent de ce qui concerne la durée d’homélie, elles disent clairement qu’« en temps normal, l’homélie n’excédera pas quinze minutes ». Mais il est rare à Kinshasa de trouver un prêtre qui respecte ce directive. Beaucoup de prêtres ont l’habitude de prêcher plus que 30 minutes. Le cardinal dans ces 12 minutes, Il a parlé ce qui était essentielle sur la parole de Dieu et la société. Dans son homélie, le cardinal a sollicité les jeunes de renoncer à Satan et à toutes ses malices : la corruption, la tricherie, et toute sorte de vices. Il a invité les jeunes à trouver les temps à dialoguer avec le Christ, d’avoir confiance en lui car il connait nos difficultés, et il peut les résoudre même si parfois il donne l’impression d’être sourd à nos prières. Il a invité aussi les jeunes d’aimer les autres, d’obéir les parents et d’être engagé dans les différents activités à la paroisse. Même si la célébration a commencé en retard contre ce que dise ces directives pastorales que « Le prêtre commencera la célébration eucharistique à l’heure annoncée : c’est un signe de respect pour les fidèles et une question de dignité pour lui-même ». Les jeunes ont attendu avec patience pour commencer la célébration de la messe à 10h40 même s’il était prévu de commencer la messe à 9 h. La messe est terminée vers 13h50. Les jeunes n’ont pas montré la fatigue, et ils étaient joyeux jusqu’à la fin de messe.
Il y avait beaucoup des jeunes (presque 45 000) même si le stade de Martyrs n’était pas plein. La chorale avait bien animé et les enfants (Anuarite) ont bien dansés sans être fatigué sur le soleil. Il y avait plusieurs groups des enfants selon leur paroisse d’origine et chacun dansait à son style.
D'autres façons de danser parmi ces enfants nous faisaient rappel les danses dans nos bars et débits de boisson qu’à mieux prière. Le directives pastorales nous rappellent aussi que « tout ce qui évoque les danses profanes destinée à l’amusement sera exclu des processions et des célébrations liturgiques. » C’est un point important à considérer pour améliorer la beauté de la liturgie. Les commissions liturgiques devraient vraiment travailler sur cet aspect pour mieux aider les enfants à bien prier en dansant et aider aussi la communauté présent à bien prière.